
Notre Histoire
Le Conseil des Sages des Empires et Royaumes d’Afrique,
COSERA en sigle dans sa version française, a été créé à l'initiative
de Son Altesse Impériale, la Princesse Yav Mwad Yowa en 2017.
En fait, cette date constitue l'aboutissement d'un long processus
débuté à l'époque du feu le Maréchal Mobutu Sese Seko, en 1996.
En effet, à cette époque, la Princesse était Consultante et Présidents
du Comité du Fundraising de l’UNICEF au Zaïre, elle présidait
aussi la Fondation YAV CHANG, qui menait des actions caritative
à Sandoa, dans le Lualaba.
Elle avait également en son temps su tirer profit de l’encadrement
de son oncle, Sa Majesté Impériale, le Mwant-a-YHWH, KAWEL
II Mwin Mangand,,TSHOMBE Thomas, Kabwit, Empereur des
RUUND (LUNDA) , et de Sa Majesté Royale, NYIMI Lukengu
KOK MABIINTSH III, Roi des BAKUBA, pour saisir le président
de la République d'alors en vue qu'usant de son charisme et de son
prestige, ce dernier puisse permettre de mener à bien l'opération de
restitution du patrimoine cultuel et culturel du Zaïre.
Ce domaine touche à l'essence même de la cosmogonie ancestrale,
source d'inspiration et de révélation pour l'âme des différents
royaumes et entités ancestrales du Bassin du Congo, confisqué par
le colonisateur et de ce fait devenu inopérant, ce patrimoine cultuel
et culturel n'est plus d'une quelconque utilité dans la marche vers le
progrès, tant il est vrai que nul pays ne peut asseoir son
développement sur le modèle d'autrui.
L'expérience de l'Afrique post coloniale, sortie du moule occidental,
est fort éloquente à ce sujet.
La fin brutale de la IIème République a empêché la matérialisation du
programme auquel le président Mobutu avait saisi l’importance et
l’urgence d’y souscrire en y adhérant les authentiques monarques du
Bassin du Congo et les entités ancestrales sacrées.
En 2004, à Paris, en marge de la conference mondiale de l’UNESCO,
intitulée " Congo, un patrimoine en danger", Placée sous le haut
patronage de Sa Majesté Albert II, Roi des Belges, de Son Excellence
le Président Joseph Kabila et de Son Excellence le Président Jacques
Chirac, la Princesse Yav Mwad, toujours sous la houlette du
Mwant-a-YHWH et du NYIMI, avec son organisation caritative et
culturelle L’Étoile d’Afrique , lors de la conférence mondiale sur le
"Patrimoine en Danger" de la République du Congo, qui s’est tenu à
l'UNESCO.
En 2007, à Paris, la Princesse en tant que Présidente de L’Etoile
d’Afrique, propose au Feu le Président Mouhammar Al Kadhafi de
créer un Conseil de Monarques africains, qui disposerait d’un ou de
deux sieges au sein de l’Union Africaine, afin de mieux négocier les
résolutions des conflits en Afrique et préserver les intérèts du peuple
africain et des afro-descendants.
Malheureusement, ce programme a été dévié de son concept originel et
son lancement en 2009, à Benghazi, au cour duquel un faux roi avec sa
fausse Cour, l’ont intronisé et couronné Roi des Rois africains,… on
connait la suite du sort de Kadhafi, le 20 Octobre 2011.
En 2017, à Kinshasa, poursuivant inlassablement sa quête, la princesse
Yav encadrée, par Sa Majesté Impériale, le Mwant-a-YHWH,
MUSHID IIII Mwin Mangand,,TSHOMBE Kahumb Benjamin,
Empereur des RUUND (LUNDA), du Castodien MPALANG
KAKING KAMAYAND, Gardien des Armes et du Trône Impérial
RUUND, du prince Kalonji Kande Mukulu, de la Maison des Balopwe
Kalonji Mulopwe Ditunga, de Papa Matand Mpopol Aimé, a poursuivi
l'objectif de la création du dit Conseil des Sages rebaptisé le Conseil
des Sages des Empires et des Royaumes d’Afrique, COSERA.
Le but du COSERA tient en la nécessité pour la RD Congo, en proie à
une crise multidimensionnelle aux contours de grave menace
existentielle, de renouer avec la cosmogonie ancestrale.
En effet, celle-ci agit en symbiose avec la philosophie UBUNTU en
application de la MAÂT, gage de paix, d'équilibre et d'harmonie pour
le rayonnement de l'ensemble.
La philosophie UBUNTU se traduit concrètement à travers le
solidarisme et pousse les membres de la communauté humaine à agir
en harmonie avec leur semblable et leur environnement en bâtissant
sur leur propre socle spirituel, cultuel et culturel.
Il ne s'agit donc pas d'interférer avec le pouvoir politique de l'Etat ni
encore moins, d'entrer en compétition avec lui. Mais au contraire, il
s'agit d'œuvrer à la manière ancestrale à la réalisation du bien-être
collectif.
